Salut les Addicts ! Baisse la tête t’auras l’air d’un coureur… Cette expression je l’ai entendu et réentendu de la bouche de mon grand-père… Et aujourd’hui et bien je l’applique ! Je me suis mis au vélo, j’aime ça et le fait est qu’il avait raison, c’est plutôt simple mais baisser la tête est l’un des principaux changements gratuits que l’on peut faire pour gagner en aérodynamisme et aller plus vite. Petit récapitulatif à moi-même que je partage avec vous, à quelques heures d’une première compétition en duathlon.
Le vélo simple et complexe à la fois
Je le dis souvent pour la course à pied, si c’est le sport le plus simple du monde, bien courir n’a par contre rien de simple. Toute la subtilité de la course passe par la technique et l’énergie qu’on utilise à chaque foulée pour avancer.
Et bien pour le vélo… C’est pareil en pire ! Tourner les jambes, c’est facile, les tourner efficacement en déployant le plus de puissance possible au moindre coût énergétique, ça l’est beaucoup moins. Si à cela vous ajoutez l’énorme différence que joue la position sur le vélo / l’aérodynamisme dans la vitesse déployée, vous comprendrez que oui il y a à travailler.
Pour bien rouler, il faut rouler fluide
Pas besoin de réfléchir beaucoup pour me lire aujourd’hui ! Mais quand c’est simple, pourquoi essayer de compliquer les choses ? Rouler de manière fluide, trouver une bonne position sur le vélo, se sentir à l’aise, pédaler en douceur en tournant les jambes autour de 90 tours par minute (tient tient on retrouve notre 180 pas par minute de course à pied !) et ensuite tenter tout simplement d’y aller sans à-coups, de manière régulière. Il ne faut pas non plu avoir peur des cuisses qui brûlent, à vélo c’est un classique, mais en ayant fait du 800m, les cuisses qui brûlent, je connais…
Reste à tout donner
S’il y a bien une chose qui ne change pas, c’est qu’il va falloir tout donner pour arriver au meilleur résultat possible. Tout donner, tout en gérant l’effort pour ne pas faiblir en cours de route. C’est sûr que dans un nouveau sport, il y a une part d’inconnu mais une fois dans le 5km à la fin du duathlon, il n’y aura plus de questions à se poser, il faudra lâcher les chevaux et montrer aux duathlètes/triathlètes de quel bois les coureurs sont faits ! 😉
Si vous voulez voir ce que ça a donné… Le compte-rendu de mon duathlon est ici !
as tu cette sensation?